Les leçons que personne ne m’a enseignées dans ma jeunesse, concernant la Bible

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Les leçons que personne ne m’a enseignées dans ma jeunesse, concernant la Bible

Je m’adonnais récemment à un de mes passe-temps préférés : fureter dans une librairie. J’ai été surpris de voir combien de livres portaient un titre semblable à celui-ci : Fifty Things I Learned From My Dog (Cinquante choses que j’ai apprises de mon chien) ou Life Lessons My Mother Taught Me (Les leçons de vie que ma mère m’a enseignées). Ces livres étaient généralement rédigés par des célébrités.

J’y ai un peu réfléchi. Je ne suis évidemment pas une célébrité, mais cela m’a frappé de constater que, contrairement aux auteurs célèbres, ma famille ne m’avait pas appris certaines vérités essentielles dans ma jeunesse, en particulier les vérités bibliques. J’ai grandi dans une famille protestante typique, puis je me suis converti au catholicisme pendant mes études universitaires.

Un jour que je visitais un membre de ma famille, j’ai remarqué une pile de livrets religieux qui posaient de sérieuses questions sur des sujets bibliques que je considérais comme discutables. Des questions comme

« Qu’arrive-t-il après la mort ? », « Le repos du sabbat de Dieu ».

Une des grandes leçons que personne ne m’a enseignée dans ma jeunesse, c’est le fait que la période des fêtes n’est rien de plus que du paganisme « déguisé ».

J’ignorais qui avait produit ces livrets. Et cela m’importait peu à l’époque, car les réponses à ces questions me semblaient toutes évidentes. Quiconque allait au catéchisme les connaissait, n’est-ce pas ? Du moins, c’est ce que je croyais ! Quoi que…

Ce que j’ai appris à propos de Noël

Une des grandes leçons que personne ne m’a enseignée dans ma jeunesse, c’est le fait que la période des fêtes n’est rien de plus que du paganisme « déguisé ». Lorsque j’ai lu cela pour la première fois, j’étais à la fois stupéfait et très offusqué. Qu’est-ce qui n’allait pas avec la période des fêtes ? Jésus-Christ n’est-Il pas censé se trouver au coeur de cette période de réjouissance ? Ce qui était vraiment ahurissant, c’est le fait qu’il est très facile de trouver des sources historiques fiables et impartiales confirmant sans l’ombre d’un doute l’origine païenne, et non biblique, de la fête de Noël !

Par exemple, presque toutes les encyclopédies reconnues indiquent que les Romains célébraient les Saturnales, une période de débauche d’une semaine s’étendant du 17 au 23 décembre et menant à la célébration du retour de la lumière du soleil, le 25 décembre.

Près de 300 ans après J.-C., cette fête en plein hiver fut adoptée par l’Église catholique, ou soi-disant chrétienne, qui affirmait que le 25 décembre devait être célébré comme étant le jour de la naissance de Jésus. Mais unexamen plus approfondi des Saintes Écritures et des livres d’histoire indique que Jésus naquit en fait en automne plutôt qu’au beau milieu de l’hiver.

Tout comme les Saturnales romaines furent converties en une fête prétendument « chrétienne », le christianisme fut à son tour infiltré et jusqu’à un certain point subverti par le paganisme qu’il était censé détruire, comme l’a écrit lecélèbre historien William Manchester (A World Lit Only by Fire, 1993, p. 11).

Ce que j’ai appris au sujet du christianisme

Une autre leçon que personne ne m’a enseignée dans ma jeunesse, ce sont les pratiques des chrétiens du premier siècle. Suivant l’exemple de Jésus et de Ses apôtres, il était pratiquement impossible de distinguer ces chrétiens de la communauté juive de l’époque quant à leurs pratiques religieuses, comme le jour choisi pour les assemblées, conformément au quatrième des Dix Commandements.

Tous les chrétiens que je connaissais allaient à l’église le dimanche. Mais j’étais étonné de ne trouver aucun passage biblique stipulant que le jour désigné pour adorer Dieu devait être le dimanche, premier jour de la semaine, et non plus le samedi, septième jour de la semaine.

Comme l’indiquent clairement les sources historiques tant sacrées que laïques, les premiers chrétiens s’assemblaient pour adorer Dieu le samedi, septième jour de la semaine ! De plus, malgré les efforts concertés pour les en empêcher (et ce, de façon intense, dès le début du deuxième siècle), de nombreux chrétiens ont fréquenté ouvertement les synagogues juives le jour du sabbat, jusqu’au quatrième siècle !

Ce que j’ai appris au sujet de ma vie

La principale leçon que personne ne m’a enseignée dans ma jeunesse était celle-ci : je n’irai pas consciemment au ciel à ma mort. C’est peut-être la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Selon la Bible, je n’irais pas en enfer non plus, du moins, pas dans le sens populaire de l’Enfer de Dante.

De toute façon, j’étais stupéfait. On m’avait dit avec autorité que mon salut était assuré et que je passerais le reste de l’éternité au paradis. Alors, en lisant les propos de l’apôtre Paul dans 1 Corinthiens 15, comme ces livrets m’incitaient à le faire, je n’arrivais pas à le croire. Paul y posait même la question suivante : « ...comment quelquesuns parmi vous disent-ils qu’il n’y a point de résurrection des morts ? » (1 Corinthiens 15:12)

Quoi ? Qu’entendait-il par « résurrection des morts » ? N’étions-nous pas censés tous aller au ciel à notre mort ? Paul décrivait un avenir beaucoup plus majestueux et emballant, un avenir auquel j’avais de la difficulté à croire et qui est décrit dans ce passage : « Et de même que nous avons porté l’image du terrestre [notre état physique actuel], nous porterons aussi l’image du céleste [de Jésus Tout-Puissant, ressuscité]… les morts ressusciteront incorruptibles, et nous, nous serons changés. » (1 Corinthiens 15:49 et 1 Corinthiens 15:52 ; c’est nous qui mettons l’accent sur certains passages.)

Encore étourdi par l’éventuelle signification de cette Sainte Écriture, j’ai poursuivi ma lecture, cette fois-ci en me penchant sur l’incroyable passage qu’est 1 Jean 3:2 : « Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n’a pas encore été manifesté ; mais nous savons que, lorsque cela sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu’il est. »

Et à quoi Jésus ressemble-t-Il dans Sa forme spirituelle en tant qu’Être ressuscité ? Lisez vous-même Apocalypse 1:13-18, comme je l’ai fait. Vous y verrez la description d’un Être dont la « tête et ses cheveux étaient blancs comme de la laine blanche, comme de la neige : ses yeux étaient comme une flamme de feu… et son visage était comme le soleil lorsqu’il brille dans sa force. » (Apocalypse 1:14 et Apocalypse 1:16) Connaissez-vous quelqu’un d’autre qui a cette apparence de nos jours ? Selon la Bible, un jour, vous l’aurez aussi.

Vous aussi pouvez en apprendre davantage de la Bible

Effectivement, il y a beaucoup de leçons que l’on ne m’a pas enseignées quand j’étais jeune. Et il y a beaucoup d’autres leçons que j’ai dû « désapprendre » ni plus ni moins. Mais je n’ai pas tardé à apprécier l’essence véritable de la Bible et ce qui représentait des traditions et des croyances d’origine humaine.

J’ai appris de nombreuses autres leçons de ce genre, mais peut-être que vous aimeriez en apprendre quelquesunes vous-même. Si cela vous intéresse sérieusement, lisez notre brochure gratuite intitulée Les Dix Commandements. C’est par là que j’ai commencé. Lisez ensuite celle qui s’intitule Les Fêtes divines : L’illustration du Plan de Dieu.

Votre Bible renferme de nombreuses vérités surprenantes. Découvrez dès aujourd’hui ce qu’elles signifient pour vous !